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01/06/2012 10:35 CEST - Clippings

Murray: «Non ci credo» (L'Equipe)

1 giugno 2012

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«Andy Murray, pouvez-vous nous dire ce qui s'est passé aujourd'hui ?
Je me suis réveillé avec ces douleurs, sans savoir pourquoi. Hier j'étais en pleine forme. A l'entraînement ce matin je me sentais pas trop mal mais pas super bien non plus. J'ai pensé à ne pas jouer, on en a parlé avec mon équipe et finalement j'ai décidé de tenter. Au début du match avec l'adrénaline ça tenait, mais à 0-3 la douleur est revenue et c'est devenu très compliqué. J'ai vraiment souffert pendant plus d'une heure.

Et pourtant vous n'avez pas voulu abandonner ?
En milieu de deuxième set j'étais à deux points de jeter l'éponge. Cela n'avait plus trop de sens de jouer alors que je ne pouvais pas servir. Mon clan m'a dit d'abandonner mais je n'arrivais pas à m'y résoudre. Et puis j'ai senti que Nieminen devenait nerveux. Il a fait des fautes et m'a remis dans le match. C'est sa faute. Sur la fin c'est une combinaison des deux : il a chuté et moi je me sentais mieux, surtout quand je suis resté debout aux changements de côté. Mes muscles se sont relâchés.

Vous souffrez du dos depuis des mois, n'avez-vous pas peur de prendre des risques en continuant à jouer ici ?
Non, il n'y a pas de risque de causer plus de dommages car n'est pas la même blessure. Là ce sont des spasmes, ça peut arriver à n'importe qui (stress, mauvaise position en dormant,...). Evidemment je me dis aussi qu'avec mes soucis de dos, cette région est fragilisée et que les muscles ont été soumis à un rude effort. Les spasmes y sont peut-être connectés mais dans tous les cas il n'y a pas de risques.

Vous serez donc sur le court dans deux jours et capable de défendre vos chances ?
J'espère. En fait je ne sais même pas comment je vais me sentir demain au réveil donc c'est difficile d'imaginer dans deux jours. J'ai une très bonne équipe qui va tout faire pour me remettre sur pieds. Aujourd'hui je suis juste heureux d'être passé. En fait, je n'arrive toujours pas à croire que j'ai gagné. Je me suis battu, j'ai serré les dents, j'ai cherché des solutions et je m'en suis sorti. C'était assez prenant au niveau des émotions tout ça !

Justement, l'an dernier c'était une cheville et là c'est le dos : à chaque fois vous vous battez, avec le soutien du public... Devenez-vous un des préférés de la foule ?
Oui, j'ai senti leur soutien mais j'ai toujours eu l'impression ici ou à Bercy que les Français étaient derrière moi. Sauf quand je joue un des leurs évidemment. Je pense que les Français sont des passionnés et aussi qu'ils sentent - et n'aiment pas - quand un joueur ne donne pas tout ce qu'il a dans le ventre. Ils ont cette connaissance du jeu qui leur permet de le voir.»

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