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09/10/2011 17:02 CEST - Rassegna internazionale

Tsonga al tappeto (L’Equipe)

Il francese crolla al terzo set in semifinale con Berdych e saluta Pechino.

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ON AURAIT DÛ S’EN DOUTER. C’est jamais bon, un Berdych qui sourit. Cette semaine, à force de le voir tout guilleret, tout sympa, il paraît que dans le vestiaire, les autres se disaient : « Ouh là, c’est pas bon pour nous, ça. » Peut-être ne le savent-ils pas, mais d’après nos sources ( Voici et Closer pour ne pas les citer), le sourire de Berdych aurait quelque chose à voir avec le deuil d’un vieil amour (avec la joueuse Lucie Safarova) et la naissance d’un nouveau. Hé oui, il y a un petit coeur qui bat derrière tous ces muscles. Remarquez, sur le terrain, ça ne se voit pas trop. Le Tchèque ne fait pas dans le sentimentalisme. Jeudi et vendredi, Kohlschreiber et Verdasco eurent vite fait de comprendre qu’ils avaient un trop petit hameçon pour l’attraper. Ils l’ont attaqué à la petite cuillère, limite au cure-dents, et ils ont reçu une pluie de bourre-pif (6-2, 6-0 puis 6-1, 6-0).

Hier soir, Jo-Wilfried Tsonga a mieux sauvé ses meubles que les copains (6-4, 4-6, 6-1) mais il n’a jamais vraiment pesé dans cette demi-finale. S’il a certes soutiré un set au Tchèque, il était le premier à reconnaître qu’il l’avait « hold-upisé » dans cette histoire. C’était sa façon à lui de dire qu’il aurait tout à fait pu prendre la porte sur un 6-4, 6-4 des familles. Et il a entièrement raison. Il lui a manqué trop de petites choses pour espérer faire dérailler le train d’en face, ou au mi nimum l’embrouiller à coups de slices et de balles bombées comme il l’avait prévu. Il lui a manqué des retours, par exemple. Si on ne gagne pas la bataille du premier coup contre Berdych, il faut s’attendre à souffrir. Pourtant, Tsonga a eu sa ration de secondes balles à exploiter. Hélas, il n’en fit pas grand-chose. « C’est surtout vrai au premier set, admit-il. Il avait unpeu peur, il était assez crispé et il a servi un paquet de petites deuxièmes balles sur mon revers. Au bout d’un moment, j’ai commencé à me décaler en coup droit. Mais c’était trop tard. »

La réciproque, elle, n’est pas vraie. Comme à l’usine, Berdych a fabriqué à la chaîne les retours profonds et lourds, ou profonds et gagnants. « C’est pas souvent que je prends cinq ou six retours gagnants dans le museau, arrivait à sourire le Français. C’est là qu’il est très fort. J’ai rapidement arrêté de lui faire mon kick sur le revers. Je l’ai fait deux fois et j’ai mangé. Il m’a obligé à ne pas servir comme d’habitude, à éviter des zones que j’aime bien, à servir moins fort, plus en effets. » Il a manqué aussi à Tsonga plus de solidité côté gauche pour ne pas se faire châtier dans la diagonale des revers. Et enfin, un peu de rigueur, et sans doute de technique, pour ne pas cochonner ces cinq volées pas sorcières et tout l’excellent travail préparatoire qui avait précédé.

Tout ça mis bout à bout, ça finit par faire une vraie différence. Elle a mis du temps à se concrétiser (le break fatal au premier set n’est intervenu qu’à 5-4), elle a longtemps tourné autour du pot (à 4-4 au second set, Berdych a vu sa balle de break annulée par un challenge vidéo de Tsonga), mais elle a eu le dernier mot. Coupable d’une double faute puis d’un coup droit penalty expédié dans la bande du filet, Tsonga perdit le service de trop à 2-1 dans le dernier set. « J’étais au taquet mais je n’ai pas été assez bon pour l’inquiéter. Il m’aurait fallu le petit coup de reins en plus, les deux petits retours dans le même jeu qui font mal.

Ouais, en même temps, il était très fort ce soir. » S’il l’est autant ce dimanche, souhaitons bien du courage à Marin Cilic. Pour Big Jo, lachasse aux points pour le Masters continue. Le voilà en partance pour le Masters 1000 de Shanghai avec une inquiétude et trois bonnes nouvelles. L’inquiétude, c’est qu’il n’est pas du tout certain d’arriver là-bas en conservant sa septième place à la Race. Si Berdych gagne à Pékin, il lui passera devant. La première bonne nouvelle, c’est que sa demi-finale pékinoise lui a permis de repousser le poursuivant le plus proche (Almagro) à cinq cents points. Suivent Söderling (à 700 points), Simon (à 715), Del Potro (à 730), etc. (...)

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